1 |
Format |
Radio
|
Titre de l'émission |
QUI ETES-VOUS?
|
Titre du segment | Jacques Brault, écrivain (1 de 3) |
Date de création
| 1995-09-18 |
Durée du segment | 00:28:18 |
Invités | Brault Jacques, écrivain, professeur de littérature |
Artisans | Archambault Gilles, animateur, journaliste, intervieweur; Major André, réalisateur, coordonnateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
|
Résumé | (1 de 3) Autoportrait de Jacques Brault, écrivain. Les images qui lui restent de son enfance dans le quartier Rosemont. Son apprentissage de l'écriture. Son admiration pour l'œuvre de Baudelaire. Sa recherche de la lucidité. La solitude et l'isolement qu'il vit par rapport à sa famille. Son intérêt précoce pour la lecture et la qualité d'écriture. Son processus de création. Son admiration pour l'œuvre de Samuel Beckett. Le statut d'écrivain. |
Mots clés | Littérature — Littérature française — Poésie — Souvenirs |
Remarques sur le document | Cette émission a été rediffusée le 1996-06-03. |
Identifiant | 733008 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
2 |
Format |
Radio
|
Titre de l'émission |
QUI ETES-VOUS?
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Titre du segment | Thérèse Renaud, écrivaine |
Date de création
| 1996-10-02 |
Durée du segment | 00:29:21 |
Invités | Renaud Thérèse, romancière et poète |
Artisans | Gauvin Lise, animatrice; Major André, réalisateur, coordonnateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Autoportrait de l'écrivaine Thérèse Renaud, signataire du Refus global et épouse du peintre Fernand Leduc. Celle-ci raconte ses souvenirs de jeunesse au Québec, dans les années 40, avant son départ pour Paris en 1946 où elle poursuit ses études. Son désir à cette époque était de faire du théâtre. Sa famille l'encourageait à oeuvrer dans le domaine des arts. Elle évoque sa relation avec Paul-Émile Borduas. Elle parle de ses débuts d'écrivain avec le recueil de poèmes "Les sables du rêve". Elle raconte sa vie à Paris où elle achetait beaucoup de livres qu'elle partageait avec ses amis québécois. Elle cite l'écrivain Antonin Artaud en exemple. En 1947, elle organise une exposition de ses amis automatistes à Paris. Elle donne ses impressions sur le texte du Refus global qu'elle a enregistré récemment. Elle commente son oeuvre littéraire. Elle évoque son séjour en Inde. |
Mots clés | Art — Automatisme — Culture — Littérature — Littérature française — Paris — Poésie — Souvenirs |
Identifiant | 1252209 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
3 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
PAYSAGES LITTÉRAIRES
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Titre du segment | 50e anniversaire de la mort de Léon-Paul Fargue |
Date de création
| 1997-12-07 |
Durée du segment | 01:35:02 |
Invités | Davy Vincent, comédien, narrateur; Brault Jacques, auteur, poète |
Artisans | Lépine Stéphane, animateur, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
|
Résumé | Émission entièrement consacrée au poète français Léon-Paul Fargue (1876- 1947) à l'occasion du 50e anniversaire de sa mort. Le poète Jacques Brault dresse un tableau de la vie et de l'oeuvre de cet artiste parisien méconnu. |
Mots clés | Anniversaires — Décès — Littérature — Littérature française — Poésie |
Identifiant | 1259919 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
4 |
Format |
Radio
|
Titre de l'émission |
LA 11E HEURE
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Titre du segment | Marie-Claire Blais: parcours d'un écrivain (8 de 10) |
Date de création
| 1997-12-10 |
Durée du segment | 00:28:12 |
Invités | Blais Marie-Claire, auteur |
Artisans | Durand Monique, réalisatrice |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Marie-Claire Blais parle de son dernier livre, "Soifs", qui est écrit sans paragraphes et sans chapitres. Malgré cette aridité, ce livre se vend bien en librairie. Puis, elle évoque des auteurs qu'elle aime, Virginia Woolf, Marcel Proust et Jean Genet. Elle explique en quoi l'œuvre de ces écrivains est admirable. Elle mentionne des gens célèbres qu'elle a rencontrés. Ainsi à Key West, elle a souvent vu Tennessee Williams, sans toutefois avoir d'entretiens avec lui. Elle a rencontré et offert un de ses livres à Marguerite Yourcenar. Elle a également rencontré chez des amis la fille de Staline, Svetlana Staline. Marie-Claire Blais a écrit des romans, des nouvelles, de la poésie et des pièces de théâtre. Elle a beaucoup aimé son expérience théâtrale et mentionne des pièces qu'elle a écrites et sa collaboration avec des metteurs en scène. Elle parle d'un passe-temps qu'elle aime bien: la peinture et le dessin. Elle conclut en disant que la récompense d'un écrivain est la compréhension de son public. De la musique sur disques complète l'émission. |
Mots clés | Littérature — Littérature étrangère — Littérature française — Roman — Souvenirs — Théâtre — Vient de paraître |
Remarques sur le document | Cette émission a été rediffusée le 1999-06-20 dans le cadre de l'émission "Séries diverses". |
Identifiant | 1802327 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
5 |
Format |
Radio
|
Titre de l'émission |
LA 11E HEURE
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Titre du segment | Les carnets d'André Major (1 de 8) |
Date de création
| 1997-12-15 |
Durée du segment | 00:57:48 |
Invités | Major André, réalisateur, écrivain |
Artisans | Lépine Stéphane, réalisateur, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
|
Résumé | Pour souligner l'apport exceptionnel d'André Major, réalisateur à Radio-Canada depuis près de 30 ans (à la Chaîne culturelle FM de Radio-Canada), Stéphane Lépine propose une série de huit carnets et dialogues avec le lecteur, l'écrivain et le réalisateur André Major.
Premier carnet: L'esprit des lieux (1942-1960) : André Major parle de son enfance dans Rosemont, à Montréal, dans un quartier pauvre et rude. Il est enfant de choeur le matin et le soir, obligé d'appartenir à un petit gang de rue, il doit faire de petits vols. Dès son plus jeune âge, il va également chez son grand-père dans les Basses-Laurentides. Il raconte l'importance de ces lieux et de la forêt pour lui. Il relate sa découverte de la bibliothèque municipale et de l'importance des livres dans sa vie. L'imaginaire lui permettra de s'évader par la pensée de ce quartier triste. Il parle de ses études dans les collèges chez les Frères et de sa relation avec son grand-père. Lorsqu'il se met à acheter des livres de la collection "Livres de poche", son univers change car il lit André Malraux, Gilbert Cesbron, Kafka. Il devient un peu socialiste et légèrement anticlérical. Il sera expulsé du collège et fera quelques métiers avant d'être publié. Plusieur auteurs le marqueront mais c'est Gabrielle Roy avec "Bonheur d'occasion" qui lui permettra d'écrire son premier vrai roman. Émission ponctuée de pièces musicales. |
Mots clés | Littérature — Littérature étrangère — Littérature française — Montréal — Roman — Société — Souvenirs |
Remarques sur le document | Cette émission a été rediffusée le 1998-07-19 dans le cadre de l'émission "Séries diverses". |
Identifiant | 1260085 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
6 |
Format |
Radio
|
Titre de l'émission |
LA 11E HEURE
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Titre du segment | Les carnets d'André Major (3 de 8) |
Date de création
| 1997-12-17 |
Durée du segment | 00:58:25 |
Invités | Major André, réalisateur, écrivain |
Artisans | Lépine Stéphane, réalisateur, animateur; Major André, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
|
Résumé | Pour souligner l'apport exceptionnel d'André Major à la Chaîne culturelle FM de Radio-Canada (il est réalisateur à Radio-Canada depuis près de 30 ans), Stéphane Lépine propose une série de huit carnets et dialogues avec le lecteur, l'écrivian et le réalisateur André Major.
Troisième carnet: Une mythologie de la désertion (1971-1976) : André Major relate ses années d'errance et de découvertes en France au début des années 1970, une façon, dira-t-il, de renouer avec les lieux des oeuvres lues, mais aussi de se libérer de la conscience de la "Québéssitude"; c'est à distance qu'il suivra la Crise d'octobre au Québec. Cet exil volontaire l'amène doucement à définir son style d'écriture qu'il souhaite avant tout un dépassement du réel; c'est alors qu'il esquisse les premiers traits du personnage de Momo Bélanger, héro de sa trilogie "Histoires de déserteurs". Il fait découvrir aux auditeurs l'univers d'auteurs étrangers qui l'ont marqué. Il cite Faulkner, Flaubert et la musicalité du langage dans ses textes, des auteurs russes (Tynianov, Tchékhov, Babel) qui l'ont influencé et qui se traduit dans son oeuvre par l'économie de mots de ses personnages. Il parle de sa découverte des auteurs contemporains sud-américains (Borges, Onetti, Saer) et de leur proximité avec l'oeuvre de Faulkner, particulièrement dans l'ampleur tragique des comportements quotidiens. De l'oeuvre de l'écrivain norvégien Knut Hamsun, et chez les auteurs scandinaves en général, il retient l'importance de la place de la nature avec laquelle il a lui-même une approche très sensuelle. Il cite aussi Witold Gombrowicz, un auteur polonais très significatif pour lui. Enfin, André Major explique les raisons qui l'ont poussé à écrire son journal, un refuge, dit-il, qui lui permettait de s'exprimer à l'abri des courants dogmatiques à l'époque des années 1970. Émission ponctuée de pièces musicales. |
Mots clés | France — Gauche politique — Littérature — Littérature étrangère — Littérature française — Politique — Roman — Souvenirs |
Remarques sur le document | Cette émission a été rediffusée le 1998-08-02 dans le cadre de l'émission "Séries diverses". |
Identifiant | 1260306 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
7 |
Format |
Radio
|
Titre de l'émission |
LA 11E HEURE
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Titre du segment | Conversations parisiennes: Anne Hébert et Madeleine Gagnon (1 de 4) |
Date de création
| 1997-12-26 |
Invités | Hébert Anne, auteur; Gagnon Madeleine, auteur |
Artisans | Dumais Doris, réalisatrice; Durand Monique, intervieweuse; Vigeant André, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | En février 1995, deux auteures, deux poètes, deux parcours, deux générations et deux imaginaires, Madeleine Gagnon et Anne Hébert se sont rencontrées dans l'appartement parisien de cette dernière. Elles se rappellent leur première rencontre, discutent de l'écriture d'Anne Hébert dans les années 1950, qui reflète une révolte écrite intérieure qui dénonçait l'ombre qui pesait sur la société québécoise. Elles soulèvent la difficulté d'être écrivain; elles citent Flaubert, Verlaine. Elles parlent de la lumière qui émane de la poésie qui se révèle l'expression du subconscient et ce bien avant les théories de Freud. Madeleine Gagnon dénonce les analyses faites dans les universités qu'elle appelle "l'empire des grilles", dans lesquelles on dissèque les textes des auteurs. Il ne faut surtout pas avoir la prétention de tout comprendre, disent-elles, et savoir apprivoiser l'énigme. Le combat entre la vie et la mort dans les écrits d'Anne Hébert. La place faite à la poésie dans les librairies; la traduction et la difficulté de rendre la musicalité des propos. La littérature masculine ou féminine, un concept inexistant selon elles. De la musique sur disques complète l'émission. |
Mots clés | Critique littéraire — Femmes — Littérature — Littérature française — Livre et édition — Paris — Poésie — Société |
Remarques sur le document | Cette émission a été rediffusée le 2000-03-09 dans le cadre de l'émission "Entretiens et confidences". |
Identifiant | 1260121 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
8 |
Format |
Radio
|
Titre de l'émission |
LA 11E HEURE
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Titre du segment | Écrivains du Canada anglais (9 de 10): Doug Jones |
Date de création
| 1998-06-11 |
Durée du segment | 00:28:45 |
Invités | Bouchard Danielle, lectrice; Jones Douglas, auteur, poète; Ray Allan Wood |
Artisans | Durand Monique, réalisatrice, animatrice; Vigeant André, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
|
Résumé | Première de deux entrevues réalisées par Monique Durand avec l'écrivain Doug Jones, chez lui à North Hatley. Douglas Gordon Jones raconte son enfance à Bancroft, petit village ontarien où son père était marchand de bois. Il évoque sa découverte de la poésie au secondaire et ses premiers pas en écriture. Selon lui, on devient poète en lisant d'autres poètes. C'est à travers la poésie qu'il est venu à aimer la langue française. Il aimait des écrivains comme Mallarmé qui était très différent des auteurs anglo-saxons. Après des études littéraires, il enseigne dans plusieurs universités jusqu'à son arrivée à l'Université de Sherbrooke, où il enseignera pendant 30 ans. En 1958, il est invité à une rencontre d'écrivains du Québec dans les Laurentides. Il rencontre Gaston Miron, Michèle Lalonde, Jacques Godbout, Yves Préfontaine et d'autres. Il est étonné de la frustration qu'il sent chez ces poètes, et en même temps émerveillé de voir des artistes qui veulent recréer le monde. Il est séduit par l'énergie de la poésie politique. Il va traduire certains poètes québécois et même composer des poèmes en français. De la musique sur disques complète l'émission. |
Mots clés | Colloques et rencontres — Littérature — Littérature anglo-canadienne — Littérature française — Poésie — Souvenirs |
Identifiant | 1260882 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
9 |
Format |
Radio
|
Titre de l'émission |
PAYSAGES LITTÉRAIRES
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Titre du segment | 26e Rencontre québécoise internationale des écrivains (3 de 3) |
Date de création
| 1998-06-14 |
Durée du segment | 01:27:55 |
Invités | Des Rosiers Joël, auteur, poète et essayiste d'origine haïtienne; Scott Gail, auteur, traductrice, romancière et essayiste anglophone; Ollivier Émile, auteur, romancier et poète d'origine haïtienne; Keneg Paul, professeur d'origine bretonne qui enseigne aux États-Unis; Thibodeau Serge Patrice, auteur, poète acadien résidant à Montréal; Swansen Anne-Marie, écrivaine d'origine danoise; Royer Jean, auteur, président de la Rencontre québécoise internationale des écrivains |
Artisans | Gauvin Lise, journaliste, présentatrice; Laurin Danielle, journaliste, présentatrice; Lépine Stéphane, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Stéphane Lépine cède l'antenne à Danielle Laurin qui présente la troisième de trois émissions composée de communications d'écrivains sous le thème: "Écriture, identité et culture". Les écrivains immigrants, émigrants, immigrés et émigrés y vont de leurs témoignage personnel. Joël Des Rosiers témoigne de sa vision du métissage et du mélange des cultures, de la dépossession et de la littérature. Gail Scott vient parler du "je glissant" et du texte poreux. Anglophone à Montréal depuis 30 ans, elle se positionne par rapport au langage, elle qui vit entre deux langues toujours en conflit. Elle parle de sa façon d'écrire. Émile Olliver s'interroge sur la question de l'identité et de l'écrivain, de la place de la littérature dans le monde moderne. Paul Keneg vient parler du fait qu'il est fatigué d'être breton. Il s'exprime sur son identité, la littérature et sa culture. Serge Patrice Thibodeau vient rapidement parler du fait d'être acadien; en Acadie, à Montréal, au Québec. Anne-Marie Swansen fait un bref témoignage. Jean Royer termine avec un bilan et ses impressions à propos de sa première présidence de cette rencontre. |
Mots clés | Colloques et rencontres — Considérations littéraires — Littérature — Littérature anglo-canadienne — Littérature française — Littérature franco-canadienne |
Identifiant | 1260992 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
10 |
Format |
Radio
|
Titre de l'émission |
LA 11E HEURE
|
Titre du segment | Que reste-t-il de Mai 68? (2 de 5) |
Titre de l'épisode | Le père, la langue, la bâtardise |
Date de création
| 1998-07-07 |
Durée du segment | 00:58:06 |
Invités | Lippert Jean-Louis, auteur; Rolin Olivier, auteur; Ouellet Pierre, auteur; Ronfard Jean-Pierre, metteur en scène; Gagnon Madeleine, auteur; Camartin Iso, auteur; Michon Pierre, auteur |
Artisans | Denis Jean-Pierre, réalisateur; Larose Jean, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | XIIe Rencontre d'écrivains francophones: à l'initiative des quatre radios membres de la Communauté des radios publiques de langue française, une dizaine d'écrivains francophones ont été invités à dialoguer sur Mai 68. Des écrivains de France, de Belgique, de Suisse et du Canada en ont débattu lors de ces rencontres en mai dernier à Montréal. Jean-Louis Lippert, Olivier Rolin, Pierre Michon, Pierre Ouellet, Jean-Pierre Ronfard, Iso Camartin et Madeleine Gagnon parlent de la langue et de la filiation après les évènements de mai 68. Plusieurs auteurs souligneront le besoin et l'importance pour eux de rejeter toute filiation littéraire et même réelle avec leurs racines. Olivier Rolin dira "de n'être aucun lieu social". Le refus de ressembler à leurs pères est souligné. L'importance pour ces auteurs d'Arthur Rimbaud, poète et marchand d'armes, même si on rejette toute filiation littéraire, est évoquée. Un auteur dira que Mai 68 n'a pas eu beaucoup d'influence sur la littérature, ce que mentionnera également dans d'autres mots Iso Camartin. Jean-Pierre Ronfard parle de son expérience théâtrale à cette époque et dans les années suivantes. Madeleine Gagnon parle de sa perception de Mai 68 comme une fête. Elle explique quelle était la situation au Québec à cette époque: Refus global, Révolution tranquille, la "Beat generation" américaine, la libération de la femme. |
Mots clés | Colloques et rencontres — Littérature — Littérature étrangère — Littérature française — Société — Théâtre |
Identifiant | 1262192 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
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